Le quartier de Galata, à Istanbul

Une petite carte postale d'Istanbul... Au loin, la fameuse tour de Galata dont les mouettes se disputent le sommet. Photographiée depuis le quartier d'Eminönu, à l'entrée du pont de Galata...

Pour vous y rendre, vous pouvez traverser le pont (ou même prendre le tram qui vous dépose à l'autre bout du pont depuis quelques mois déjà) et monter dans les petites rues qui serpentent jusqu'à la tour... Attention, ça grimpe !

Pour les moins courageux et ceux qui aiment les petites bizarreries, empruntez donc le "Tünel", sorte de petit tramway souterrain qui vous déposera près de la tour, au pied d'Istiklal Caddesi... A faire au moins une fois, charmant...

Crêtes drômoises...

J'adore me ballader dans les montagnes et atteindre des sommets. D'une part pour la vue imprenable qu'offres ces promontoires, mais aussi pour voir les ombres des nuages tout proches se promener sur le flancs des monatgnes avoisinantes... Pour cette sensation d'être à quelques métres des nuages, d'atteindre le plafond de ce paysage...

Clermont-Ferrand, à l'aube

Je n'ai jamais compris comment j'ai pu réussir à prendre cette photo... Le soleil se lève et perce cette chappe de nuages au dessus de Clermont-Ferrand... Au loin, la chaîne des puys.

Ca a du bon des fois de travailler tôt le matin...

Orientation urbaine Argentine...

Rien de plus facile que de se promener dans les villes d'Argentine. Elles respectent toutes scrupuleusement un format en damier, à quelques exceptions près bien sûr.

Le pannea de Mayou ci-contre n'indique aucunement les directions et kilomètres à parcourir pour atteindre Mendoza ou Buenos Aires. en fait, sachez que les rues dans les villes argentines portent les noms d'autres villes du pays... Ou de grands héros de la nation (politques principalement). De plus, ce sont toujours les mêmes noms de rues. toutes les villes ont leur Avenida San Martin, leur rue General Colon, Président Peron, Juan De Garay etc etc... Les principales artères portent d'ailleurs les mêmes noms également.
Pour ce qui est des numéros, c'est simple. A chaque croisement, on change de centaine. toutes les rues parralèles sont numérotées dans le même sens. le zéro est souvent le bord de la ville, un port ou un périphérique. A Buenos Aires, c'est la Avenida de Mayo coupe symboliquement la ville en deux... Pour plus de détails, il faut consulter le Guia"T".

Repos dans le port de Split...

Les guides Assimil

Je ne possède aucune action de ce groupe ou de cette entreprise d'édition... Tout simplement, j'ai utilisé deux de leurs guides (Turc et Argentin) lors de mes voyages et grâce à eux, j'ai pu apprendre les rudiments de ces deux langues en quelques semaines à chaque fois... De quoi se débrouiller pour demander son chemin, commander de quoi manger (ou boire) et se sortir de quelques mauvais pas à l'aide d'un peu de vocabulaire...

Je ne vous recommanderez que trop d'aller jeter un coup d'oeil à la liste impressionante de parutions disponibles, de quoi vous accompagner dans tous vos voyages...

Disponibles dans toutes les bonnes crémeries.

Valparaiso, by night

Une bodega, près de Mendoza

Impossible de passer quelques jours à Mendoza et ses environs sans rentrer dans une bodega. Visites des hangars ou trônent les cuves de vins, caves et autres musées vinicoles sont les attractions proposées aux visiteurs, touristes et locaux... Sans compter sur les dégustations bien sûr..

Il y'en a pour tous les palais et toutes les bourses...

... A Ankara

Bienvenue dans ce petit marché d'Ankara... Il n'y a vraiment pas grand chose à voir dans cette ville, comme je le disais ici. Mais comme d'habitude, en fouillant un peu ou en suivant seulement son instinct et les bruits de la rue, vous pourrez découvrir de petits endroits charmants et désertés par les touristes comme celui-ci. L'occasion de découvrir des odeurs, des couleurs et des gens formidables.
C'est comme ça que j'ai pu rencontrer Yasar, un vendeur de bérets d'Ankara. je l'ai rencontré lors de mon premier voyage avec mes amis en Turquie. L'année suivant, je suis retourné à Ankara... J'ai eu bien du mal a retrouvé sa boutique dans les petites ruelles. Et oui, le hasard a ceci de fâcheux qu'il est difficile de le reproduire ! Mais j'ai réussi tout de même à le retrouver. IL se souvenait de notre rencontre.. je suis resté avec lui la fin de journée. Nous sommes allés dans les hauteurs de la ville boire quelques bières avec ses amis, avant de terminer la soirée dans un super restaurant, à manger des plats succulents arrosés de raki.

Ou est Charlie ?

Je parle de Charlie le parisien. Regardez, il n'y en a pas un de parisien sur cette photo...
C'est en tout cas le constat que je fais lors de mes déplacements dans notre chère capitale. Je n'entends plus le doux son de la langue française dans le métro. On me demande son chemin, je réponds en italien, en anglais....